Le festival de courts métrages en ligne Plein(s) Écran(s) est heureux de présenter La projection qui fesse!, un événement inédit où seront présentées quatre œuvres déjantées prédestinées à une censure par Meta. Les films Angie de Anthony Coveney, Faire un enfant de Éric K. Boulianne, Gender Reveal de Mo Matton et NU de Olivier Labonté Lemoyne seront projetés sur grand écran pour donner la chance au public de les découvrir dans leur version intégrale. Organisée pour la première fois dans le cadre de la neuvième édition du festival, qui se tiendra du 23 janvier au premier février, cette soirée qui risque de décoiffer aura lieu le vendredi, 24 janvier, à vingt heures, à la Cinémathèque québécoise.

Pour l’occasion, Éric K. Boulianne et Florence Mbaye (Faire un enfant), Anthony Coveney et Gabrielle Allaire (Angie), Mo Matton et Lyraël (Alex) Dauphin (Gender Reveal), ainsi que Olivier Labonté-Lemoyne et Étienne Galloy (NU), seront présent·e·s pour une rencontre avec le public. Cette projection spéciale est offerte gratuitement aux festivalier·ère·s. Pour réserver (places limitées) : cinematheque.qc.ca/fr/cinema/pleins-ecrans-la-projection-qui-fesse

Angie de Anthony Coveney

Angie, une culturiste bigorexique en fin de carrière (interprétée par Gabrielle Allaire), découvre dans son dos une excroissance inhabituelle. Lors d’une consultation, le médecin lui annonce qu’elle devra rompre avec ses habitudes de vie pour ne pas aggraver son cas. Lauréat du Prix de la critique AQCC du meilleur court métrage au Festival de films francophones CINEMANIA, Angie pose un regard inquiétant sur l’obsession corporelle, tout en explorant le narcissisme et l’insatiabilité.

Faire un enfant de Éric K. Boulianne

Le film met en scène un couple, interprété par Florence Blain Mbaye et Éric K. Boulianne, qui décide de fonder une famille après plusieurs années de fréquentation. Au fil de leurs nombreux essais, ils tentent tant bien que mal de préserver leur amour. Prix de la mise en scène Pardi di domani au Festival international du film de Locarno, Faire un enfant est une comédie-dramatique minimaliste qui jette un regard doux-amer sur la résilience de deux trentenaires devant l'un des grands défis de la vie.

Gender Reveal de Mo Matton

Sélectionné dans plusieurs festivals cette année, notamment à Locarno, au TIFF et au Festival du nouveau cinéma où il a remporté le prix du public, Gender Reveal met en vedette Ayo Tsalithaba, Kě Xīn Li et Lyraël (Alex) Dauphin. Cette première œuvre solo du cinéaste trans Mo Matton raconte l’histoire satirique de Rhys alors qu’iel décide d’amener ses deux partenaires au gender reveal du futur bébé de son patron. Le trouple trans réalise rapidement l’ampleur de la célébration où sa capacité à s’en sortir indemne sera mise en péril.

NU de Olivier Labonté Lemoyne

Un jeune couple de vingtenaires sans histoire trouvent un endroit intime où garer leur voiture et s’aimer loin des regards indiscrets. Du moins c’est ce qu’ils croient… Au creux de la forêt, leur intimité sera le théâtre d’une déstabilisante rencontre entre la sensualité et l’horreur. Mettant en vedette Étienne Galloy, Roxane Tremblay-Marcotte et Grégoire Dunlevy, NU s’est démarqué à Fantasia en 2023 en remportant le prix Direction photo émergente (Bronze).

Membres du jury

Plein(s) Écran(s) est fier d’annoncer les membres de ses différents jurys. Le jury officiel sera composé cette année de Jean-Carl Boucher (acteur), de Nahéma Ricci (actrice, auteure et metteure en scène) et de Aziz Zoromba (scénariste, réalisateur et producteur). Quant au jury Le BEAM, il sera formé de Véronique Vigneault (directrice générale Le BEAM), Sylvie Van Brabant (réalisatrice, productrice et présidente des Productions du Rapide-Blanc) et Anh Minh Truong (réalisateur et scénariste), tandis que le jury étudiant réunira les étudiant·e·s Bryen Akueson (administration des affaires), Marie Maulà (scénarisation et création littéraire) et Camélia Vienneau (sociologie). Au total, plus de quarante-cinq mille dollars (45 000$) seront offerts en argent et en services aux lauréat·e·s. Ces prix seront remis à la soirée de clôture, le samedi, premier février.

Pour connaître tous les détails de la programmation 2025, rendez-vous sur pleinsecrans.com.

Le festival de courts métrages en ligne Plein(s) Écran(s) est fier de dévoiler la programmation complète de sa neuvième édition qui se tiendra du 23 janvier au premier février 2025. Avec une sélection de quarante films, dont trente-six présentés en ligne gratuitement partout au Canada, et des événements publics proposés à Montréal au Cinéma Beaubien, à la Cinémathèque québécoise, au Cinéma Moderne, à la Salle Jean-Claude-Lauzon de l’École des médias de l’UQAM et à L’inis, cette édition promet à nouveau de mettre de l’avant des créations courtes, résolument audacieuses.

La directrice générale Ariane Roy-Poirier et toute l’équipe de Plein(s) Écran(s) ont le plaisir d’accueillir cette année, l’humoriste, auteur et réalisateur Jean-François Provençal à titre de porte-parole du festival. Jean-François participera à plusieurs activités, dont la lecture de scénarios animée par Alec Pronovost. Il partagera également ses coups de cœur lors du premier épisode d’une série de balados avec les cinéastes participant·e·s qui sera diffusée quotidiennement, en partenariat avec CISM et la Caisse de la Culture Desjardins.

Les cinéphiles de partout au Québec et ailleurs auront la chance de visionner quatre films par jour, disponibles pendant vingt-quatre heures sur le site du festival et ses réseaux sociaux. Soigneusement choisis par un comité de sélection composé cette année de Raquel Sancinetti (cinéaste), Pascale Drevillon (actrice et artiste multidisciplinaire) et Will Niava (cinéaste), sous la direction de Ariane Roy-Poirier, les vingt-quatre films québécois en compétition officielle et les huit autres courts d’ici de la section Impression(s) sont regroupés sous quatre thèmes qui définissent bien cette nouvelle édition : explosif, poignant, inquiétant et tendre. En résulte une programmation variée, spécialement conçue pour plaire à tous les publics et s’adapter à toute leur gamme d’émotions!

EXPLOSIF, des films qui brassent

Présenté en ouverture de la neuvième édition, Bail bail, un film explosif signé Sandrine Brodeur-Desrosiers(23 janvier), lancera les festivités sur ce thème clé de Plein(s) Écran(s). Six autres films de la compétition officielle présentée sur Facebook proposent également des oeuvres fougueuses qui se démarquent par leur style éclaté ou leur sujet incendiaire, soit À toi les oreilles de Alexandre Isabelle (24 janvier), Lumen de Stéphanie Bélanger (25 janvier), Extras de Marc-Antoine Lemire (27 janvier), Été 2000 de Virginie Nolin et Laurence Olivier (28 janvier), Le petit panier à roulettes de Laurence Ly (29 janvier), Mon coeur de tomate de Benoît Le Rouzès Ménard (30 janvier) et L’artifice de Isabelle Grignon-Francke (31 janvier).

POIGNANT, des films qui prennent aux tripes

Des courts métrages à l’intensité émotionnelle remarquable seront présentés aux festivaliers, qui auront la chance de s’émouvoir devant les magnifiques films d’animation Un trou dans la poitrine de Jean-Sébastien Hamel et Alexandra Myotte(23 janvier), ainsi que Géant Beaupré de Alain Fournier(25 janvier). Le public pourra également découvrir les touchants documentaires Clémence de Myriam Ben Saïd (27 janvier), Hello Stranger de Amélie Hardy (28 janvier), Juste un toit de Emmanuel Rioux (29 janvier) et D’ici d’ailleurs de Chadi Bennani (30 janvier), de même que la fiction Les mains sales (Katshinau) de Julien G. Marcotte et Jani Bellefleur-Kaltush (31 janvier). Alors que ces films seront présentés en compétition officielle, le sensible Votre appel est important pour nous de Romy Boutin St-Pierre et Joe Nadeau (24 janvier) sera présenté en Impression(s), une section diffusée sur Instagram.

INQUIÉTANT, des films qui désorientent

Avec leurs propositions particulièrement perturbantes, les films présentés en compétition officielle tels que Zug Island de Nicolas Lachapelle (23 janvier), L’été des chaleurs de Marie-Pier Dupuis (24 janvier), Unclean de Simon Chouinard (25 janvier), UWD de Brigitte Poupart et Myriam Verreault (28 janvier), Mothers & Monsters de Edith Jorisch (30 janvier), ainsi que Someone’s Trying to Get In de Colin Nixon (31 janvier) donnent clairement le ton à cette troisième section. Suggérant une expérience cinématographique où l’incertitude règne en maître, les films d’animations projetés dans le volet Impression(s), En surface de Arash Akhgari (27 janvier) et Itch de Maggie Zeng (29 janvier), comblent cette mystérieuse catégorie.

TENDRE, des films qui réchauffent le coeur

Des films empreints de douceur et agréables à visionner sont réunis sous ce thème. Les trois courts métrages présentés en compétition officielle, Audio y el Caimán de Andrés I. Estrada (24 janvier), Trois vagins qui crient de Alexia Roc (27 janvier), ainsi que Chat mort de Danick Audet et Annie-Claude Caron (29 janvier) sauront bien réconforter leur public. De la même manière, Les fleurs sauvages de Rodolphe Saint-Gelais et Thierry Sirois (23 janvier), Stae de Justin Tran (25 janvier), The Lemonade Stand - Making Medecines de Paul O'Bomsawin (28 janvier), Caniculaire de Camille Pépin (30 janvier) et Au vent les songes bleus de Emma Beyaert-Meisels (31 janvier), projetés en Impression(s) au sein de cette catégorie, présentent également des histoires attendrissantes.

Carte blanche

Cette année, le Brussels Short Film Festival (BSFF) offre une carte blanche célébrant toute la beauté du cinéma belge avec une sélection maison de courts métrages créatifs, drôles et émouvants. Le 26 janvier, le public pourra découvrir sur Facebook Alice et les soleils de Théo Degen et Charlotte Muller, Avec Thelma de Raphaël Balboni et Anne Sirot, ainsi que Si-G de Frederike Migom, et sur Instagram Voyage en amnésie de Anouk Kilian-Debord.

Balado Plein(s) Écran(s)

L’incontournable balado Plein(s) Écran(s) est de retour pour la neuvième édition du festival. Encore cette année, Alex Mendel anime les discussions qui rassemblent les cinéastes des films présentés au programme. Les échanges portent sur la démarche artistique, les secrets de tournage et bien plus encore! Le tout dans une ambiance décontractée qui donnera envie au public de voir (et revoir) les œuvres présentées en ligne pendant le festival.

Des événements rassembleurs

Soirée d’ouverture et projection de quatre courts métrages en présence des cinéastes (22 janvier, à dix-neuf heures, au Cinéma Beaubien). Billets disponibles en ligne.

La projection qui fesse! qui rassemble quatre films déjantés que Meta ne pourrait supporter (24 janvier, à vingt heures, à la Cinémathèque québécoise). Entrée libre.

Soirée de lecture de scénarios animée par Alec Pronovost et mettant en vedette Jean-François Provençal, Sophie Cadieux, Naïla Louidort, Étienne Galloy et François Ruel-Côté (26 janvier, à dix-neuf heures, au Cinéma Moderne). Billets disponibles en ligne.

Classe de maître(s) avec les cinéastes Denis Côté et Myriam Verreault, présentée par l’ARRQ - Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (28 janvier, à dix-neuf heures, à la Salle Jean-Claude-Lauzon de l’École des médias de l’UQAM). Entrée libre.

Projection commentée du court métrage Mothers & Monsters, en présence de la cinéaste Édith Jorisch et de quelques membres de son équipe, présentée par L’inis (30 janvier, à dix-neuf heures, à L’inis). Entrée libre.

Le premier février, au terme de huit jours à découvrir les trente-deux courts métrages québécois présentés en compétition cette année, le public aura la chance de voter pour ses films favoris parmi les six œuvres qui ont reçu le plus d’interactions pendant le festival.

Dès vingt heures, les festivaliers et festivalières sont invité·e·s au Bar North Star (3908 Boul. Saint-Laurent, Montréal) pour une soirée à saveur de fête foraine en l’honneur du film de clôture L’artifice. Elle débutera par le dévoilement des films lauréats de la neuvième édition, en présence des cinéastes et des membres du jury. Ensuite, au menu : pinball, photobooth et autres jeux ludiques pour se replonger tête première dans les meilleurs souvenirs d'adolescence. Cette soirée festive se poursuivra avec DJ André Bazin aux platines.

Une collection de tous les films de la neuvième édition sera offerte du premier au 28 février 2025 sur le Ciné-Club Plein(s) Écran(s) au coût de quinze dollars (15$).

Pour connaître tous les détails de la programmation 2025, rendez-vous sur pleinsecrans.com.

Le festival de courts métrages en ligne Plein(s) Écran(s) est fier d’annoncer que Jean-François Provençal sera le porte-parole de sa neuvième édition qui se tiendra du 23 janvier au premer février 2025. Avec son humour absurde et sa forte présence en ligne, il incarne à la perfection l’esprit du festival, qui, sur les réseaux sociaux, ne se prend jamais trop au sérieux. Un choix tout indiqué pour une édition qui se démarque par son style unique et son originalité!

Jean-François Provençal, nouveau porte-parole

Humoriste, auteur, musicien, infographiste, réalisateur (Les Appendices à Télé-Québec), comédien (Trop à Radio-Canada, Papa à TVA, C’est comme ça que je t’aime à Radio-Canada), la réputation de Jean-François n’est plus à faire. On l’a également vu en tant que collaborateur à l’émission Alt, à Vrak, en plus d’être le visage de la campagne publicitaire web des gâteaux Vachon. C’est aussi lui qui a créé les succès internationaux J’ai faim plus que Alain, Homme du monde, Michel a soif et Le vilaje de l’ansien tant qui cumulent plus de quinze millions de visionnements sur Facebook et plus de onze millions sur YouTube.

Un film explosif en ouverture de la neuvième édition

Le coup d’envoi de la prochaine édition de Plein(s) Écran(s) aura lieu le mercredi, 22 janvier, à dix-neuf heures, au Cinéma Beaubien, en présence de son nouveau porte-parole et de plusieurs invité·e·s, dont la cinéaste Sandrine Brodeur-Desrosiers (Juste toi et moi, Pas d’chicane dans ma cabane), qui viendra présenter le court métrage Bail bail, choix du film d’ouverture de cette année. Produit par SPORT et distribué par Welcome Aboard, cette fiction met en scène deux colocs de longue date qui, après avoir signé un nouveau bail, s'aperçoivent que leur proprio va les évincer illégalement. S'ensuit un combat pour garder leur appartement où humour, violence et western kung fu sont au rendez-vous…en plein temps des Fêtes! Les billets pour cet événement sont disponibles dès maintenant sur la billetterie du Cinéma Beaubien.

En primeur : deux rendez-vous rassembleurs à ne pas manquer

En plus de sa présence à la soirée d’ouverture, le nouveau porte-parole de Plein(s) Écran(s) participera à quelques événements clés durant le festival, notamment la lecture de scénarios de retour pour une deuxième année. Cette activité très prisée du public aura lieu le dimanche, 26 janvier, à dix-neuf heures, au Cinéma Moderne. Alors que la mise en lecture sera assurée par l’auteur et réalisateur Alec Pronovost, plusieurs scénarios, dont une version inédite de son film Jeep Boys, seront interprétés par une troupe de comédien·ne·s de grand talent formée de Jean-François Provençal, Sophie Cadieux, Naïla Louidort, Étienne Galloy et François Ruel-Côté.

Cette année, pour sa désormais traditionnelle classe de maître(s), Plein(s) Écran(s) aura le bonheur d’accueillir Denis Côté et Myriam Verreault. Ces deux cinéastes, dont les longs métrages ont été salués par la critique, se sont récemment illustré·e·s dans le format court avec les audacieux Jours avant la mort de Nicky et UWD. Grâce à leur personnalité captivante et à leur approche unique du cinéma, cette rencontre promet d’être aussi enrichissante que divertissante. Présenté par l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ), cet événement ouvert à toutes et à tous se tiendra le mardi, 28 janvier, à dix-neuf heures, à la Salle Jean-Claude-Lauzon de l’École des médias de l’UQAM.

Le festival réserve d’autres belles surprises aux adeptes de courts métrages. La programmation complète de la neuvième édition de Plein(s) Écran(s) sera dévoilée le mercredi, 8 janvier 2025.

Plein(s) Écran(s) dévoile l’identité visuelle de sa neuvième édition

Le festival de courts métrages en ligne Plein(s) Écran(s) est fier de dévoiler l’identité visuelle de sa neuvième édition qui se tiendra du 23 janvier au premier février 2025. Signée par l’artiste illustrateur Haute Vitesse (Gabriel Sabourin), cette nouvelle affiche rappelle que Plein(s) Écran(s) est un festival inclusif où il y en a pour tous les goûts et tous les publics!

«L'année dernière, notre identité visuelle mettait en valeur l'idée que notre programmation peut être appréciée partout dans le monde du confort de notre foyer, et ce, tout à fait gratuitement. L'accessibilité est au cœur de la mission de Plein(s) Écran(s) et, pour nous, cela se reflète également à travers une sélection variée de courts métrages qui s'adresse à toutes et à tous, qui favorise la découverte et qui nous fait voyager à travers une gamme d'émotions. Plein(s) Écran(s), c'est un festival qui appartient à tout le monde, et c'est ce que nous avions envie de mettre de l'avant avec notre nouvelle identité visuelle.» - Ariane Roy-Poirier, directrice générale et artistique

La Tirelire Plein(s) Écran(s)

Pour une deuxième année, le festival invite le public à participer en grand nombre à La Tirelire Plein(s) Écran(s), une bourse socio financée qui accompagne les Prix du public. Cette initiative contribue de façon tangible au rayonnement du court d’ici, alors que les fonds investis sont entièrement redonnés aux cinéastes gagnant·e·s pour les encourager dans leurs nouveaux projets.

Grâce aux généreux dons des amateur·trice·s de cinéma, la Tirelire Plein(s) Écran(s) a permis de bonifier les Prix du public de mille six cent cinquante dollars (1650$) qui sont venus s'ajouter aux montants déjà offerts par le festival, soit mille dollars (1000$) aufilm favori sur Facebook et cinq cents dollars (500$) au préféré sur Instagram, pour un total de trois mille cent cinquanhte dollars (3150$) remis aux deux films lauréats de l’édition 2024.

La programmation de la neuvième édition de Plein(s) Écran(s) sera dévoilée le mercredi, 8 janvier 2025.

À propos de Plein(s) Écran(s)

Plein(s) Écran(s) est un organisme de diffusion dont la mission est la découvrabilité et la démocratisation du contenu court auprès du grand public par la promotion et le rayonnement des talents du court métrage au Québec, en région et à l’international. Ses différentes activités ont pour but de se servir de l'interactivité et l’immense portée des réseaux sociaux et des nouvelles initiatives innovantes pour offrir au court métrage une vitrine exceptionnelle.