Dans nos Laurentidess logo Édition du 7 juin 2023 / 551e édition
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Dans sa onzième année!
Mise à jour: 6 mai 2023
La MRC des Pays-d'en-Haut

Tant au niveau du patrimoine culturel que du patrimoine bâti, la MRC des Pays-d’en-Haut a une histoire bien à elle!

La belle (et réelle) histoire des Pays-d’en-Haut débute après 1783, à la suite de l’indépendance des États-Unis. Récompensés pour leur fidélité envers le roi d’Angleterre, des loyalistes se voient concéder des terres dans la province de Québec, notamment dans les Laurentides. Un peu plus tard, entre 1810 et 1888, de nombreux Irlandais et Écossais émigrent aussi dans la région, fuyant la misère causée par les guerres qui sévissent dans leurs pays. Ces deux phénomènes contribuent grandement à l’établissement de cantons dans l’actuelle partie ouest du territoire de la MRC des Pays-d’en-Haut. Les nouveaux arrivants pratiquent l’agriculture de subsistance et construisent plusieurs moulins à scie afin d’exploiter le potentiel forestier.

En 1842, Augustin-Norbert Morin, avocat, journaliste et homme politique, s’installe en bordure de la rivière du Nord et ouvre des routes afin de favoriser l’établissement des premiers colons francophones dans la région. Il fonde ainsi les villages de Sainte-Adèle, Val-Morin et Morin Flats (Morin-Heights). Au cours de cette période, Morin n’est pas le seul à occuper les berges de la rivière du Nord, des colons s’étant installés plus au sud, dans l’actuel territoire de la municipalité de Piedmont. D’autres audacieux tenteront leur chance, tel l’homme d’affaires Édouard Masson : il établit une concession sur les berges du lac qui porte aujourd’hui son nom, dans un secteur plus à l’est de la vallée de la rivière du NordSainte-Marguerite-du-Lac-Masson).

Ce n’est cependant qu’à l’arrivée du curé Antoine Labelle, en 1868, que la colonisation des Laurentides débute réellement. Le «roi du Nord», comme on l’appelait, est à l’origine de la construction du célèbre chemin de fer Le P’tit Train du Nord, qui reliait Montréal à Sainte-Agathe-des-Monts (et plus tard à Mont-Laurier). En 1892, la partie ouest du territoire est également desservie par voie ferrée grâce au Chemin de fer de la colonisation de Montfort. Le train a joué un rôle important dans le développement économique de cette contrée : il a favorisé le peuplement francophone et l’implantation de la villégiature au pourtour de certains lacs des secteurs correspondant aux municipalités de Morin-Heights, Montfort (un secteur de Wentworth-Nord) et Lac-des-Seize-Îles.

Malgré tous les efforts consentis, on s’aperçoit vite que les terres des Cantons du Nord (comme on les appelait à l’époque) ne sont pas aussi fertiles qu’on l’espérait. La colonisation s’essouffle, laissant plusieurs parcelles agricoles en déprise. Heureusement, les nombreux lacs poissonneux et les forêts giboyeuses attirent de plus en plus de voyageurs américains. Les berges des plans d’eau les plus importants seront progressivement occupées par de petits chalets, ce qui augmentera la population de certains villages au cours de la saison estivale. Puis, au tournant du XXe siècle, ce sera au tour des Montréalais de découvrir, grâce au P’tit Train du Nord, les montagnes leur permettant de pratiquer ce que l’on appelait autrefois le ski nordique.

La MRC des Pays-d’en-Haut soutient dix projets culturels

Tout près d’une trentaine de personnes ont pris part le 3 mai 2023, à la soirée remise des aides financières du Fonds culture et patrimoine de la MRC qui avait lieu au Centre sportif Pays-d’en-Haut situé à Sainte-Adèle.

À cette occasion, la MRC a alloué à dix bénéficiaires, une somme totale de cinquante-deux mille dollars (52 000$) du Fonds culture et patrimoine à des projets témoignant d’un rayonnement significatif et contribuant au développement culturel du territoire.

Ce Fonds vise à offrir une aide financière complémentaire à des projets de nature culturelle ou patrimoniale et contribue ainsi à la mise en œuvre de la Politique culturelle de la MRC des Pays-d’en-Haut adoptée en 2006. Les demandes ont été analysées par un comité de sélection (comité culturel) qui par la suite a transmis ses recommandations au Conseil de la MRC que les membres ont entériné, par résolution le 11 avril 2023.

La MRC félicite les bénéficiaires du Fonds culture et patrimoine 2023. Dans la catégorie «Projet culturel ou patrimonial», on a : Arts et culture Saint-Adolphe; Association des Auteurs des Laurentides; ATSA (quAnd l’arT paSse à l’Action) ; Elizabeth Whalley; Festival des Arts de Saint-Sauveur; Festival SuperFolk de Morin-Heights; FOCUS FEST; Reliure adéloise; et TCACWN (Table de concertation des arts et de la culture de Wentworth-Nord). Dans la catégorie Rayonnement d’un artiste professionnel, la bénéficiaire est Caroline Lizotte.

«Depuis l’instauration du Fonds culture et patrimoine en 2006, c’est plus d’un demi-million de dollars (590 030 $) qui ont ainsi été remis à trois cent trente-quatre projets présentés par des organismes, associations, artisans et artistes sur le territoire, a rappelé le préfet André Genest durant son allocution. Par ce soutien, la MRC reconnaît que la Culture est un élément essentiel au développement économique et territorial et que celle-ci est une facette importante de notre identité.»

Pour en savoir davantage sur le Fonds culture et patrimoine, consultez le site Internet lespaysdenhaut.com ou communiquez au 450 229-6637, poste 119.

La MRC des Pays-d’en-Haut remporte le Prix Municipalité

C’est lors des trente-deuxièmes Grands Prix de la culture des Laurentides qui se tenaient le 30 novembre 2022 au Théâtre Le Patriote à Sainte-Agathe-des-Monts, que la MRC des Pays-d’en-Haut a remporté le Prix Municipalité pour son projet culturel Mouvement de passage FASS.

Le projet de médiation culturelle Mouvement de passage FASS implique les arts vivants (danse, musique) et les aînés en perte d’autonomie, vivants avec une maladie ou en fin de vie. Se présentant sous forme d’un déambulatoire improvisé, un (des) interprète(s) et un musicien se déplacent de chambre en chambre afin d’aller à la rencontre de la personne qui y habite. Cette rencontre se veut un moment de contact humain, d’émerveillement et d'apaisement pour le bénéficiaire.

Le projet visait entre autres à briser l’isolement et à favoriser la participation des ainés à la vie culturelle et sociale.

Dans le cadre de ce projet de médiation culturel, le Festival des Arts de Saint-Sauveur (FASS), qui fut mandaté par la MRC pour réaliser le projet, a choisi de collaborer avec Ariane Boulet (Le radeau), créatrice de la démarche artistique Mouvement de passage, afin de former et d’initier des artistes des Laurentides.

Un projet bénéfique

Rappelons qu’au départ, le projet devait avoir lieu en 2020. Or, la pandémie a forcé son report à plusieurs reprises et isolé grandement les bénéficiaires des établissements de soins de longue durée. Ainsi la nécessité de réaliser le projet prenait tout son sens. Finalement, le projet a pu se réaliser au printemps dernier, en visitant deux établissements de soins de notre MRC.

Mouvement de passage FASS a permis de rassembler des artistes engagés de notre région, ayant tous un désir d’apporter une présence réconfortante et une vague d’émotions bienfaisantes aux bénéficiaires des établissements visités.

Le projet a impliqué dix artistes de la région et cinq formatrices ayant une grande expérience de la démarche. Un total de cinq «représentations» a été réalisé, soit trois au CHSLD L.-B.-Desjardins de Saint-Sauveur et deux au Havre du Manoir Saint-Adolphe, et a rejoint la majorité des résidents à deux reprises.

Devant le succès du projet pilote, la MRC a confirmé la reconduction du projet Mouvements de passage FASS pour 2022 et 2023 afin de toucher un plus grand nombre d’ainés dans les établissements de la MRC.

Prix Municipalité

La MRC a reçu une œuvre de l’artiste Nathalie Levasseur, une épreuve numérique, en édition limitée sur papier Hahnemüle, intitulée Rite Transitoire 4, Côté Mer, Îles-de-la-Madeleine.

Sur la photo : Étienne Lavigne, directeur du Festival des Arts de Saint-Sauveur, et Jessica Chicoine administratrice de Culture Laurentides, en compagnie des lauréats de la MRC des Pays-d’en-Haut, soit: Michèle Lalonde mairesse de Sainte-Adèle et présidente du comité culturel de la MRC des Pays-d’en-Haut et Philippe Laplante agent de développement culturel et touristique. Crédit photo : Caverne Pyralis.

Remerciements

La MRC tient à remercier les partenaires de ce projet :

Le Festival des Arts de Saint-Sauveur

Organisme Le radeau

Le CHSLD L.-B.- Desjardins de Saint-Sauveur

Le Havre du Manoir Saint-Adolphe

Le gouvernement du Québec dans le cadre de l’Entente de développement culturel

Reconstruction patrimoniale de l'ancien centre commercial
et culturel du Domaine-de-l‘Estérel

Le 11 octobre 2022, le Conseil de la MRC des Pays-d’en-Haut a adopté deux résolutions en lien avec la démolition de l'ancien centre commercial et culturel du Domaine-de-l‘Estérel.

Dans la première résolution, le Conseil demande dans un premier temps à la société Olymbec, propriétaire du site de l’ancien centre commercial et culturel du Domaine-de-l‘Estérel, qu’elle procède à la reconstruction patrimoniale du bâtiment, détruit illégalement alors que l’immeuble était classé. Il demande dans un deuxième temps au ministère de la Culture et des Communications qu’il prenne les moyens nécessaires pour assurer la reconstruction patrimoniale de l’immeuble.

Dans une seconde résolution, le Conseil signifie au gouvernement le maintien de la candidature de l’ancien centre commercial et culturel du Domaine-de-l'Estérel comme Espace bleu de la région des Laurentides.

En conséquence, le Conseil mandate le préfet de la MRC, André Genest, pour faire les représentations politiques à ces deux sujets.

«Je me réjouis de voir l’appui unanime du Conseil de la MRC, pour demander à Olymbec et au ministère de la Culture et des Communications que la reconstruction patrimoniale du bâtiment soit respectée. Ainsi, on vient confirmer la valeur historique et significative du lieu pour la région. De plus, sa reconstruction permettra de renforcer notre proposition d’y établir l’Espace bleu des Laurentides, un projet structurant non seulement pour les citoyens de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, de l’Estérel, de la MRC mais aussi, pour la région et pour le Québec au grand complet!», croit M. Genest.

Réparer l’irréparable

Franck Pappas, maire de l’Estérel, en appelle à la responsabilité sociale et morale du propriétaire du site et de respecter son engagement à la suite de la destruction irréversible le 13 mai 2022, de l’immeuble patrimonial classé par le gouvernement du Québec en 2014 en vertu de la Loi sur patrimoine culturel. «Dans un communiqué daté du 17 mai, Olymbec évoquait sa volonté – je la cite – de ‘’faire tout ce qui est possible pour réparer au mieux ce qui apparaît irréparable, ce qui inclut la reconstruction du bâtiment patrimonial dans le cadre de son futur projet de redéveloppement’’», indique M. Pappas. Ce dernier rappelle que plusieurs citoyens des villes d’Estérel et de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, ainsi que de la MRC, ont réclamé la reconstruction patrimoniale du bâtiment, lors d’une journée de réflexion tenue le 17 septembre 2022 et qui avait rassemblé une centaine de personnes.

Un lieu significatif

Le maire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, Gilles Boucher, bien au fait du dossier, tient à la reconstruction patrimoniale de l’immeuble, afin de bénéficier du programme Espace bleu. «L’ancien centre commercial et culturel du Domaine-de-l‘Estérel avait une valeur patrimoniale et historique unique qui entrait en droite ligne avec ce programme, lequel prévoit la possibilité d’ériger une construction neuve si son apport au site et à l’identité culturelle d’un endroit et d’une communauté est important et si sa conception architecturale contribue à révéler la valeur historique ou significative du lieu, dans un esprit de continuité avec les bâtiments environnants. Nous réitérons notre appel au promoteur pour respecter cet engagement et au gouvernement du Québec de faire de ce lieu, l’Espace bleu des Laurentides», souligne M. Boucher.

André Genest annonce sa ferme intention de solliciter toute l’attention de la députée nouvellement élue dans Bertrand, France-Élaine Duranceau, et attend impatiemment la nomination d’un nouveau ou d’une nouvelle ministre de la Culture.

Centre sportif Pays-d’en-Haut
La volute enfin dévoilée!

C’est le 10 juin 2022 que la MRC des Pays-d’en-Haut a dévoilé La volute, l’œuvre d’art qui orne dorénavant l’immense mur du lobby du Centre sportif Pays-d’en-Haut.

L’espace grandiose était empli d’un parterre d’invités triés sur le volet, et surtout d’une émotion que l’on pouvait ressentir face à l’œuvre monumentale.

«Ça fait toujours chaud au cœur d'être invité dans sa région pour participer à des concours, lance Annie Cantin, l’artiste de l’œuvre et citoyenne de Saint-Adolphe-d’Howard. C'est à partir de ce moment que j'ai pensé à La volute. La volute est une forme en spirale basée sur le nombre d’or. La volute créé un lien dans la pratique du sport, la culture et l'environnement dans un même lieu.»

Rappelons que c’est dans le cadre du projet de construction du Centre sportif et conformément à la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du Québec, qu’un montant correspondant à cent quatre-vingt-seize mille sept cent cinquante-huit dollars (196 758$), taxes incluses, a été réservé afin de réaliser une œuvre d'art public.

Un processus de sélection minutieux

C’est le ministère de la Culture et des Communications du Québec qui est responsable de l’application de la Politique et de la sélection des artistes professionnels pouvant participer au programme d'intégration des arts. Un comité ad hoc fut formé dans la foulée, pour participer à l'ensemble de la démarche entourant la sélection de l'œuvre d'art.

C’est donc dans le cadre de ce processus rigoureux que la proposition artistique d’Annie Cantin a été retenue. Un choix motivé par les grandes qualités des matières utilisées, soit le verre coloré soufflé, l’ajout des miroirs et la fabrication tout en finesse des attaches de métal. Ce tourbillon lumineux s’intègre très bien, d'un point de vue symbolique, dans cet espace du centre sportif.

«C’est important pour la MRC d’avoir ce projet d’intégration d’une œuvre d’art public dans une enceinte dédiée pour le sport. C’est là une belle occasion de sensibiliser la population à l’art, de le démocratiser, de le rendre accessible. Pour certains, on peut être moins porté à aller au musée, à une exposition ou dans une galerie d’art qu’à l’aréna ou la piscine. Grâce à cette politique d’intégration, l’art vient à nous», croit André Genest, préfet de la MRC.

La volute, vedette d’un documentaire

Afin de mettre en valeur le projet d’intégration, la MRC a commandé un documentaire, réalisé par Bernard Duplessis, qui présente la démarche artistique de Mme Cantin, son inspiration, le processus ayant mené à la proposition de l’œuvre, ses étapes de conception, son montage et sa signification.

«Ce que je trouve bien en art public, c'est que tout le monde peut profiter d'une œuvre d'art au quotidien. Tu crées des liens dans le temps. Tu peux apprivoiser une œuvre sur plusieurs semaines, mois, années. C'est une grande chance que l'on a en tant qu'artiste québécois de pouvoir participer à l’Art public», conclut Annie Cantin.

À propos de la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics

Cette politique vise, entre autres, à accroître la diffusion d'œuvres en art actuel réalisées par des artistes professionnels québécois ainsi qu'à participer à l'enrichissement du cadre de vie des citoyens, partout au Québec. Depuis 1961, plus de quatre mille œuvres ont été acquises ou réalisées dans le cadre de cette politique gouvernementale Cette Politique s'applique au gouvernement, à ses ministères et à ses organismes. Elle s'applique également à une personne à qui le gouvernement, ou un de ses ministères ou organismes, verse une subvention pour réaliser un projet de construction ou d'agrandissement, dont le coût est de cent cinquante mille dollars (150 000$) ou plus.

«La volute» s’inspire de la spirale. Cette configuration que l’on retrouve à l’état naturel est basée sur le nombre d’or. Il régit un rapport équilibré entre la partie et le tout, puis définit la limite de l'harmonie. Dans ce complexe, le sport incarnera un rituel. Dans cet esprit de la rencontre avec les autres et soi-même, ainsi que dans la reconnaissance de nos similitudes, les usagés s’approprient ce lieu qui en ce sens devient un espace bienveillant.

Matériaux : verre soufflé, miroirs, acier inoxydable
Collaborations : Atelier Babajaga et Atelier Michel-Bernier

La MRC change d’identité visuelle

Après plusieurs mois de travail pour extraire l’essence de la MRC, nous sommes fiers de dévoiler notre nouvelle identité visuelle, ainsi que notre nouveau slogan!

L’identité de marque de la MRC des Pays-d’en-Haut, c’est une identité régionale très affirmée et un territoire marqué par l’accès à une nature diversifiée et aménagée par l’homme, à proximité de la métropole et la vitalité économique de sa couronne nord.

En plus de profiter de cette occasion pour moderniser notre image, il nous paraît important de réaffirmer notre impact sur la gestion et le développement d’un vaste territoire comprenant dix partenaires municipaux. La force de la MRC, c’est son côté rassembleur. Elle sait unir les forces vives de son territoire pour mieux le faire rayonner, solidifier ses acquis et ouvrir ses horizons sociaux, culturels, environnementaux, économiques et politiques.

Représenter les sentiers qui s’unissent pour rassembler et dynamiser les municipalités : comme les artères du cœur des Laurentides.

Dans les sentiers, les marques de pas confirment que le territoire est occupé. Les sillons sont profonds comme une présence forte et fière.

Haut & Fort!

Haut et fort, tel est le slogan qui accompagne notre nouvelle identité visuelle. Il permet ainsi de réaffirmer le «Haut des Pays d’en Haut» en l’intégrant à un discours clair, sans appel et mobilisateur.

Il définit bien l’identité des gens d’ici, leur fierté à leur territoire parsemé de paysages haut en couleurs. Il caractérise ce haut lieu d’émotions et tout ce qui en émane.

La formule – qui ne contient aucun verbe, que des qualificatifs – se décline harmonieusement à toutes les marques filles et toutes les juridictions :

• Haut et fort… la culture.
• Haut et fort… le développement durable.

En ajoutant le verbe (moteur de l’action) au qualificatif (Haut et fort), on peut jouer avec toutes les palettes d’émotion et adoucir parfois l’intensité du «Haut et fort».

Par exemple, avec Rêver haut et fort, Émouvoir haut et fort, Savourer haut et fort, on peut utiliser des verbes «doux» et parfaitement transmettre le «à la manière des Pays-d’en-Haut».

Le soutien économique… réussir, haut et fort.
Le centre sportif… s’amuser, haut et fort.
La culture… émouvoir, haut et fort.

Le Logo


Le logo actuel de la MRC des Pays-d’en-Haut a été actualisé et simplifié. La police de caractère choisie est simple et indémodable. Les cours d’eau, la forêt et les montagnes qui caractérisent le territoire y sont représentés.

L’icône développée intègre des liens de connexions qui unissent l’ensemble du territoire dans une illustration compacte comme une empreinte (ligne d’empreintes digitales, tampon de marquage à l’encre, etc.) et une carte topographique (territoire, ascension, relief, etc.). La représentation d’un grand «sapin fléché» au centre des sommets montagneux permet d’illustrer le «Haut et fort» en indiquant une direction claire.

La puissance de ce logo vient de sa simplicité qui convient parfaitement à l’humilité et à la discrétion que souhaite avoir la MRC dans ses interventions. Lors de la participation de la MRC en soutien à des partenaires dans le cadre d’un projet, ce logo s’insère tout naturellement dans la galerie de logos, sans s’imposer, mais en marquant sa présence en toute simplicité.

La composition «icône + désignation» procure aussi un avantage important : il est possible de les séparer pour marquer certaines intégrations. Ainsi, pour organiser visuellement le projet de sentiers, l’icône peut être ingénieusement utilisée pour marquer les directions : orienter l’icône, sans la désignation de la MRC, pour signaler le chemin à prendre.

Le bleu est considéré comme la couleur préférée des Occidentaux et il a un pouvoir relaxant. En plus d’attirer l’attention, une touche de rouge, d’orange et de turquoise saura donner de la vie aux visuels. Ces couleurs feront aussi ressortir davantage la couleur verte qui sera présente dans la majorité des photos.

Comme une image vaut mille mots, nous vous laissons avec une petite vidéo promotionnelle présentant notre nouvelle image de marque, haute en couleurs!

La MRC des Pays-d’en-Haut
a redéfini son identité en collaboration avec Rouge Marketing, une agence de communication et marketing basée dans les Laurentides.

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