Dans nos Laurentidess logoÉdition du 2 octobre 2024 / 620e édition
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Dans sa douzième année!
Mise à jour: 10 décembre 2022
Basia Bulat partage une nouvelle chanson

L’artiste montréalaise Basia Bulat partage «Fables (The Garden Version)», l’époustouflant et profondément émouvant deuxième extrait, arrangé et orchestré par Zou Zou Roubidoux, de son prochain album The Garden, qui sera lancé numériquement le 25 février 2022 et physiquement le 25 mars 2022, via Secret City Records.

La nouvelle pièce est accompagnée d’un vidéoclip réalisé par Bulat, qui a juxtaposé des images de son enfance tournées avec une caméra Hi 8 à des images récentes de sa fille et elle. «C’est une de mes chansons préférées parmi toutes celles que j’ai écrites, car en tant qu’artiste folk, j’ai dévoué toute ma vie adulte à chanter des histoires», explique Bulat. «C’est en racontant des histoires que nous comprenons qui nous sommes et d’où nous venons — les fables transmettent des leçons d’une génération à une autre. Mais que devons-nous faire lorsqu’une partie de la fable transmise est oubliée ou erronée? Lorsque, en tant qu’adultes, nous réalisons que nous entretenons certains héritages par inadvertance ou inconsciemment? Parfois, les histoires que nous avons apprises lors de l’enfance à propos de nous-mêmes et d’où nous venons sont des reliques d’un passé inapte à répondre aux questions que nous avons aujourd’hui. Nous ne pouvons pas changer ou sauver quiconque avec les histoires que nous possédons, mais elles nous rappellent d’avoir assez d’audace pour aller à la rencontre de l’autre dans le moment présent, en prônant l’amour et la vérité.» Un nouvel album qui réinvente des chansons tirées de ses cinq albums studio avec d’épatants arrangements classiques pour quatuor à cordes par Owen Pallett, Paul Frith et Zou Zou Robidoux.

À propos du vidéoclip, Bulat ajoute : «J’ai écrit “Fables” à la fois comme une ode à l’enfance et aux réalités plus difficiles de la vie adulte. Alors, quand je suis tombée sur de jolies vieilles images que ma mère avait filmées lors d’un jour de neige, j’ai eu l’inspiration de chanter avec cette époque en tête et de voir ce qui arriverait si je le filmais. Millefiore Clarkes et moi avons eu la chance de capturer la lumière du soleil et le calme suivant un énorme blizzard s’étant abattu sur l’Île-du-Prince-Édouard. C’était très émouvant de regarder les images de l’époque avec celles d’aujourd’hui, par-delà les années et les saisons, recréant ce qui semble être une fable de mon enfance que j’avais oubliée dans cette nouvelle période de ma vie.»

Bien qu’elle soit reconnue pour jouer sur scène avec des petits orchestres de chambre et des orchestres complets — incluant l’Orchestre du Centre national des arts d’Ottawa et Symphony Nova ScotiaThe Garden marque le premier enregistrement de Bulat à immortaliser cette envoûtante configuration, qui met en valeur sa voix distinctive et ses chansons intemporelles. À travers seize pièces, dont la réalisation est assurée par elle-même et Mark Lawson (Arcade Fire, Beirut), elle revisite et redonne une nouvelle vie à des compositions originales très appréciées, entourée d’un groupe soigneusement assemblé de musiciens jouant d’instruments à cordes (les violonistes John Corban et Tomo Newton, l’altiste Jen Thiessen, la harpiste Sarah Page, ainsi que Robidoux au violoncelle), ainsi que des membres de son groupe Andrew Woods et Ben Whiteley, respectivement à la guitare et à la basse. «Fables (The Garden Version)» succède à «The Garden (The Garden Version)», qui a reçu des éloges de All Songs Considered (NPR Music), Consequence, Brooklyn Vegan, Under the Radar, et plusieurs autres médias.

The Garden s’inscrit dans une riche tradition d’artistes qui revisitent leurs chansons au fil du temps et pour Bulat, cet album était une occasion de réenregistrer une sélection de chansons dont le sens s’est altéré depuis qu’elle les a écrites. Le recul amène plus de sagesse; le recul révèle des choses. «Je chante les chansons différemment maintenant», confie-t-elle. «Le temps nous offre cela.» D’autre part, au moment de l’enregistrement de The Garden, Bulat venait d’apprendre qu’elle attendait son premier enfant. Elle en a informé ses collaborateurs durant les sessions, alors qu’elle était dans la cabine d’enregistrement de voix. Une chanson peut se métamorphoser, laissant tomber des feuilles, faisant éclore de nouvelles fleurs, au gré des saisons.

Finaliste pour le Prix de musique Polaris et nommée aux Prix JUNO, Basia Bulat a été encensée tout au cours de sa carrière par The New Yorker, NPR Music, The New York Times, Pitchfork, WNYC, The Independent, MOJO, et Uncut, entre autres. Bulat a effectué de vastes tournées à travers le monde, livrant des performances sur des scènes et dans des festivals comme le Carnegie Hall, le Festival de folk de Newport, et le Festival de jazz de Montreux.

Basia Bulat annonce un nouvel album, The Garden

L’artiste montréalaise Basia Bulat annonce The Garden, un nouvel album qui réinvente des chansons tirées de ses cinq albums studio avec d’épatants arrangements classiques pour quatuor à cordes par Owen Pallett, Paul Frith et Zou Zou Robidoux. La parution numérique sera le 25 février 2022, et la parution physique, le 25 mars, via Secret City Records. Bien qu’elle soit reconnue pour jouer sur scène avec des petits orchestres de chambre et des orchestres complets — incluant l’Orchestre du Centre national des arts d’Ottawa et Symphony Nova ScotiaThe Garden marque le premier enregistrement de Bulat à immortaliser cette envoûtante configuration, qui met en valeur sa voix distinctive et ses chansons intemporelles. À travers seize pièces, dont la réalisation est assurée par elle-même et Mark Lawson (Arcade Fire, Beirut), elle revisite et redonne une nouvelle vie à des compositions originales très appréciées, entourée d’un groupe soigneusement assemblé de musiciens jouant d’instruments à cordes, ainsi que des membres de son groupe Andrew Woods et Ben Whiteley, respectivement à la guitare et à la basse. Le premier extrait, soit la pièce titre, inclut de grandioses et saisissants arrangements par Pallet (qui a récemment collaboré avec Taylor Swift, Haim, Arcade Fire, et plusieurs autres). La chanson est accompagnée d’un vidéoclip animé par Mel Fuentes.

«Au cours de la dernière année, je me suis permis de ralentir, de creuser dans la terre, de m’enraciner, et de voir quels souvenirs et quelles mélodies allaient surgir dans le jardin, après de nombreuses années sur la route. Lorsque j’ai écrit “The Garden” [en 2016], j’étais dans un état d’esprit tourmenté; elle m’a prise par la main et m’a calmée. “Nous ne regarderons pas derrière, et ainsi, nous ne serons pas perdues.” Elle m’a dit de vivre le moment présent et d’anticiper l’avenir, et durant cette dernière année d’immobilité et de réflexion, ce fut un autre rappel, comme une méditation» explique Bulat. «Les jardins évoluent et changent, ils sont en constante croissance. Dans mon jardin, les plantes sont revenues, certaines élaguées, d’autres envahissantes, mais jamais exactement comme l’année précédente. Les arrangements d’Owen pour cette chanson reflètent tous les bourgeons et les épines où souffle le vent — de nouvelles pousses et d’anciennes formes qui apprennent à se connaître de façons magiques... Je suis très chanceuse de pouvoir amener cette chanson en floraison vers une nouvelle saison.»

Pour Bulat, The Garden était une occasion de réenregistrer une sélection de chansons dont le sens s’est altéré depuis qu’elle les a écrites. Le recul amène plus de sagesse; le recul révèle des choses. «Je chante les chansons différemment maintenant», confie-t-elle. «Le temps nous offre cela.» D’autre part, au moment de l’enregistrement de The Garden, Bulat venait d’apprendre qu’elle attendait son premier enfant. Elle en a informé ses collaborateurs durant les sessions, alors qu’elle était dans la cabine d’enregistrement de voix. Une chanson peut se métamorphoser, laissant tomber des feuilles, faisant éclore de nouvelles fleurs, au gré des saisons.

Finaliste pour le Prix de musique Polaris et nommée aux prix JUNO, Basia Bulat est reconnue pour sa voix puissante et infaillible, ainsi que pour ses performances scéniques où elle passe sans effort d’un instrument à l’autre, incluant l’autoharpe, le piano, la guitare, le dulcimer et le charango. Sa musique a été encensée tout au cours de sa carrière par The New Yorker, NPR Music, The New York Times, Pitchfork, WNYC, The Independent, MOJO et Uncut, entre autres. Son plus récent album, Are You in Love? (2020), réalisé par Jim James (My Morning Jacket), a reçu des éloges de publications telles que The Independent (★★★★), MOJO (★★★★), et Uncut. Bulat a effectué de vastes tournées à travers le monde, livrant des performances sur des scènes et dans des festivals comme le Carnegie Hall, le Festival de folk de Newport, et le Festival de jazz de Montreux.

Basia Bulat lance un nouveau vidéoclip

Basia Bulat partage un vidéoclip pour la pièce titre de son plus récent opus «Are You in Love?», filmé à Hi-Dez Studios à Joshua Tree et aux alentours, en Californie. Il a été capté sur un Super8 par Kaveh Nabatian, et édité par sa chère collaboratrice Nora Rosenthal.

Are You In Love? a reçu des éloges à travers le monde, notamment de la part de The Independent (★★★★), MOJO (★★★★), Metro (★★★★), La Presse (★★★★) et Uncut, entre autres.

Basia Bulat dévoile Are You In Love?

L’auteure-compositrice-interprète acclamée par la critique, Basia Bulat annonce son nouvel album, Are You in Love?. L'album est réalisé par Jim James du groupe My Morning Jacket - il avait également réalisé son dernier opus, Good Advice.

Afin de célébrer l’annonce de la sortie de son prochain album, Bulat dévoile son nouvel extrait et vidéoclip, «Your Girl». «J’ai écrit "Your Girl" durant une tempête de neige à Montréal et j’ai enregistré la chanson sous le soleil brûlant du désert de Joshua Tree», raconte Bulat. «Quelqu'un m’a déjà dit qu’il est impossible de chanter et pleurer en même temps, mais ce n’était pas vrai pour moi lorsqu’on a enregistré cette chanson. C’est réjouissant d’être finalement libérée d’une situation douloureuse, il y a un réconfort, du rire — même si l’on ne peut jamais oublier la douleur ou comprendre pourquoi cette tempête a traversé notre vie de cette façon. Alors, avec le pas léger, tu danses avec les souvenirs. Si vous écoutez cette chanson et que vous comprenez ce que je veux dire, sachez que je chante avec vous alors que nous dansons dans ce vent tourbillonnant.» Le vidéoclip a été réalisé par Brian Sokolowski et tourné dans le nord du Québec.

L’enregistrement a commencé aux Hi-Dez Studios de Joshua Tree, mais le disque n’était pas terminé quand Bulat est revenue chez elle, à Montréal. Il a fallu neuf mois de plus avant qu’elle y retourne. Elle est tombée amoureuse et son père est décédé, lui faisant perdre son sens de la beauté et la notion d’où elle pourrait bien se cacher. «Pendant tout le processus de création de ce disque, je luttais entre rester en contrôle et lâcher prise», explique Bulat, «entre m’accrocher à d’anciennes trames narratives et accepter ce qui était devant moi.» Le nouvel album représente cette période de mort et de deuil, mais aussi de pardon, de réinvention et d’amour. «Je veux faire un disque magnifique qui parle de compassion», a-t-elle écrit au réalisateur Jim James.

La pochette de l’album a été créée par le talentueux peintre Kris Knight, qui dit : «J’ai blagué avec Basia récemment que nous avons cet étrange parallèle dans nos vies — une connexion comme celle entre un frère et une sœur, qui rend la collaboration aussi naturelle qu’inspirante. Je suis exposé à ces chansons sincères depuis un moment déjà — assez longtemps pour qu’elles fassent partie de ma vie et qu’elles soient la trame sonore de nouveaux souvenirs comme seulement la bonne musique peut l’être. Nous parlons de collaborer depuis longtemps et je suis très honoré qu’on m’ait demandé de peindre Basia pour son nouvel album. J’espère avoir capturé un peu de la magie que cet album évoque.»

Depuis le lancement de son premier disque, Oh, My Darling, Bulat a effectué beaucoup de tournées. Elle a joué lors de prestigieux festivals comme le Festival de jazz de Montreux, Austin City Limits et le Festival de folk de Newport. Elle est montée sur des scènes de salles mythiques comme Carnegie Hall, Royal Theater Carré, et comme tête d’affiche au Massey Hall. Elle a été en nomination aux Juno Awards et s'est retrouvé trois fois sur la courte liste du Prix de musique Polaris. Elle a partagé la scène avec des artistes tels que Nick Cave and the Bad Seeds, St Vincent, Daniel Lanois, Arcade Fire, Neko Case, Beirut, Tune-yards, Lord Huron et Sufjan Stevens.

Basia Bulat dévoile un nouvel extrait

L'autrice-compositrice-interprète acclamée par la critique, Basia Bulat, dévoile «Already Forgiven», un extrait de son nouveau disque Are You in Love?. Pour son nouvel album, Basia Bulat a joint ses forces de nouveau à celles de Jim James (My Morning Jacket), qui avait aussi réalisé son disque paru en 2016, Good Advice.

«Lors de la création de cet album, j’ai tenté de me dépasser comme jamais auparavant. J’avais l’impression que ma seule façon d’évoluer artistiquement était d’ouvrir mon cœur à toutes les choses qui me faisaient peur. Je souhaitais écrire une chanson à propos d’un des concepts avec lesquels j’ai le plus de difficulté depuis l’enfance, soit la notion de pardon», confie Bulat.

«Le mot [pardonné] signifie quelque chose de différent pour tout le monde, et j’ai longtemps tenté de comprendre ce qu’il signifiait pour moi. Je trouvais que j’essayais depuis plusieurs années d’accepter et de reconnaître la souffrance passée sans la laisser me définir ou me ralentir. En écrivant cette chanson, j’ai finalement trouvé un espace dans mon esprit où ces pensées pouvaient couler comme de l’eau à travers mes mains. Un endroit de clarté et de calme, traversé par une brise. On a l’impression qu’il a toujours été là, mais la route y menant est difficile et imprévisible. Chanter ces paroles a été une des journées les plus ardues pour moi, car je voulais vraiment croire à ce que je chantais.»

La chanson a été enregistrée durant une session à Joshua Tree. «Un jour, Andrew a enregistré un vent déchaîné dehors et a transmis le signal à travers des appareils électroniques. Cette impression de mélodies tourbillonnantes à travers la chanson est aussi importante que les paroles pour moi. Les harmonies sont là même si on ne parvient pas à les entendre initialement. Cela peut prendre des années à le dire, mais vous êtes déjà pardonné.»

Le vidéoclip a été tourné sur pellicule Kodak et réalisé par Nora Rosenthal et Brian Sokolowski. Rosenthal raconte : «Pour “Already Forgiven”, nous savions dès le départ que le vidéoclip devait être à propos de la sensation de la chanson, il fallait embrasser sa matérialité — on peut littéralement entendre le vent dans cette pièce. Lorsqu’un ami de Basia nous a montré l’endroit où nous avons finalement tourné, je crois qu’on a tous été étonnés. C’était si magique, si surnaturel. La nature de l’endroit en soi a eu une influence sur l’énergie du tournage, nous inspirant même quand il faisait sombre et froid à la fin de la journée.» Sokolowski ajoute : «Notre décision de tourner sur pellicule 16mm était motivée par notre désir collectif d’obtenir une certaine texture et un certain grain qu’il est difficile de recréer numériquement. Il y a toujours un certain risque, une concentration nécessaire et un rythme particulier lorsqu’on tourne sur pellicule, et cette pression, cette incertitude et ce potentiel étaient appropriés pour ce projet.»

Basia Bulat dévoile un vidéoclip
pour la chanson Love is at the End of the World

L’autrice-compositrice-interprète Basia Bulat lance un nouveau vidéoclip pour la chanson «Love is at the End of the World», réalisé par Nora Rosenthal. Il s’agit de la pièce finale de son plus récent album encensé par la critique, Are You in Love?, réalisé par Jim James de My Morning Jacket.

Basia explique l’inspiration de la chanson et du vidéoclip : «Ça a commencé comme une prière de gratitude envers les amis qui m’ont aidée durant un de mes moments les plus sombres, puis c’est devenu une promesse à moi-même de toujours choisir l’amour plutôt que la peur. Nous avons tourné le vidéoclip en février avant que le monde change un millier de fois. Ça a été une année si difficile pour tant de gens; chaque fois que j’ai l’impression que c’est la fin du monde, je sais en même temps que beaucoup d’amour contribue à la construction d’un nouveau monde.»

Elle poursuit à propos du vidéoclip : «Les danseuses du vidéoclip — Eryn Tempest et Hanako Hoshimi-Caines — y ont insufflé une énergie particulière et un esprit de renaissance. J’ai travaillé avec Nora Rosenthal et Brian Sokolowski sur tous les vidéoclips pour cet album, et je suis reconnaissante pour la superbe réalisation de Nora sur celui-ci et pour les mouvements de danse de Brian alors qu’il maniait une caméra *vraiment* lourde!»

À propos de «Love is at the End of the World», EXCLAIM! a déclaré que c’était «une des plus belles chansons de Bulat. Commençant avec seulement sa voix et un piano électrique, «Love Is at the End of the World» est d’abord douce, comme des chuchotements matinaux sous les couvertures, mais elle devient graduellement plus forte alors que d’autres instruments sont introduits. Vers le milieu, la chanson explose en une magnifique cacophonie menée par une guitare électrique, et le message de Bulat devient plus urgent : «l’amour se trouve à la fin du monde». Particulièrement en ce moment, c’est une déclaration essentielle que même lors des périodes difficiles, il faut s’accrocher à l’amour.»

«Pendant tout le processus de création de ce disque, je luttais entre rester en contrôle et lâcher prise», explique Bulat, «entre m’accrocher à d’anciennes trames narratives et accepter ce qui était devant moi.» L’album représente cette période de mort et de deuil, mais aussi de pardon, de réinvention et d’amour.

Are You In Love? a reçu des éloges à travers le monde, notamment de la part de The Independent (quatre étoiles), MOJO (quatre étoiles), Metro (quatre étoiles), La Presse (quatre étoiles) et Uncut, entre autres.

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