L’auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste canadien Leif Vollebekk partage une nouvelle version de Peace of Mind, un extrait de son nouveau disque encensé par la critique, Revelation. Peace of Mind (Morning) est une captivante version acoustique.
Peace of Mind (Morning) donnait l’impression qu’elle méritait d’avoir son propre espace, séparément de la version sur l’album, explique Vollebekk.
Il ajoute : Il y a quelque chose à propos d’une montagne qui parvient toujours à nous apaiser. Quelque chose d’inspirant, une quiétude qu’on cherche à atteindre. Dans le Yi Jing, la stabilité (symbolisée par une montagne) est la voie menant à la paix d’esprit. Considérant le titre, c’est plutôt ironique que j’aie passé plus de temps à enregistrer cette chanson que toute autre. J’ai enregistré quatre ou cinq versions de cette chanson.
Peace of Mind (Morning) est accompagnée d’un visualizer officiel réalisé par Andy Mann, qui offre aux fans une expérience sensorielle qui s’avère aussi immersive que la chanson. Vollebekk est actuellement en tournée à travers les États-Unis afin de faire la promotion de Revelation. Des arrêts dans des villes majeures sont prévus, alors qu’il présente un concert à la fois intimiste et électrisant d’un océan à l’autre. Au début de l’année prochaine, la tournée se poursuivra au Canada, avec des arrêts à Montréal, Toronto, Vancouver et dans plusieurs autres villes.
Revelation a été encensé par la critique et les fans depuis sa parution le 27 septembre 2024. Bedroom Disco affirme que c’est de loin la meilleure œuvre de ce talentueux auteur-compositeur-interprète à ce jour, un sentiment partagé par Musikreview en Allemagne. En Angleterre, Americana UK a décerné la note de 9/10 et écrit que [Vollebekk] a livré une superbe création. Revelation est un titre approprié pour un album qui mérite une place sur ces listes de fin d’année que tout le monde aime faire.Le Devoir lui a accordé ★★★★, tandis que Exclaim! y allait d’un 8/10, déclarant : L’image scintille, un mirage d’eau cristalline qui brille avant de disparaître avec le son des vagues. C’est avec de telles images que le subconscient de Vollebekk est à la fois amplifié et reconstruit. Rolling Stone souhaite que tout le monde découvre Rock and Roll et l’a incluse dans sa rubrique Songs You Need To Know, alors que Atwood Magazine vante une autre chanson : Une rêverie portée par la lueur d’une connexion intime, Peace of Mind (Evening) de Leif Vollebekk est un pur ravissement sonore qui fait vibrer l’âme. De plus, on a pu entendre la musique de Leif dans l’épisode de Shrinking sur Apple TV+, ce qui a permis aux téléspectateurs du monde entier de découvrir son son caractéristique.
L’auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste canadien Leif Vollebekk partage «Peace of Mind (Evening)», un mémorable et mélodique extrait coréalisé et mixé par David Baron (The Lumineers, Shawn Mendes, Michael Marcagi). «Il s’agit de la version “soir” de Peace of Mind», précise Leif. «Cette version ne se trouve même pas sur le disque. Elle souhaitait simplement être sa propre chose. Elle voulait de la batterie d’emblée. Elle voulait des guitares saccadées et des synthétiseurs des années quatre-vingts. J’imagine que je voulais qu’elle évoque le bonheur que je ressens quand une excellente chanson joue à la radio lors d’un trajet nocturne en voiture.»
Le nouvel album, Revelation, sera lancé le 27 septembre 2024. Leif annonce aussi ses premières dates de tournée aux États-Unis pour faire la promotion du nouvel album, à partir du 7 novembre à Philadelphia, PA. Cette portion américaine surviendra après une tournée européenne débutant le premier octobre à Winterthur, en Suisse. Les billets pour les concerts européens sont en vente dès maintenant. Les spectacles américains seront mis en vente le 6 septembre.
Leif ajoute : «Considérant le titre, c’est plutôt ironique que j’aie passé plus de temps à enregistrer cette chanson que toute autre. J’ai enregistré quatre ou cinq versions différentes de cette chanson. La plus récente, intitulée Peace of Mind (Evening), est la version qui semble inclure tout ce que j’ai aimé de chaque version précédente, incluant la version où la voix est mise de l’avant sur l’album. Je suppose que cela témoigne d’à quel point la chanson est importante pour moi.»
«Chanter cette chanson me libère. La mélodie est apparue déjà complète, après quelques semaines de vacances avec ma famille. J’ai redécouvert ma solitude pour la première fois depuis un moment. Et dans le calme, j’ai chanté à propos d’eux. J’ai rêvé qu’un enfant déposait un pissenlit sur ma tombe. Pour une raison ou une autre, je me suis réveillé en me sentant incroyablement paisible. Qu’est-ce que ça veut dire?»
Le visualizer accompagnant la pièce a été réalisé par Nicholas Sutton Bell.
L’auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste canadien Leif Vollebekk partage «Southern Star», une émouvante ballade comme deuxième extrait, qui inclut des chœurs par l’auteure-compositrice-interprète australienne Angie McMahon, ainsi que la légendaire Cindy Cashdollar à la steel guitar. Le nouvel album, Revelation, sera disponible le 27 septembre 2024.
Leif a récemment partagé la scène avec Fred Again… trois soirs à San Francisco. Il a précédemment annoncé une tournée européenne en octobre 2024; les billets sont en vente dès maintenant. Avant de se rendre outremer, l’auteur-compositeur-interprète jouera dans quelques festivals canadiens cet été, incluant au Festival international de jazz de Montréal.
«Je pense que c’est ma chanson préférée que j’ai écrite à ce jour, et ça a pris un moment avant qu’elle ne se dévoile», confie Leif. «J’ai passé environ deux ans à attendre que le dernier couplet arrive. Elle a été enregistrée en une prise avec moi au piano, Oliver à la batterie, Shahzad à la basse, et Angie, qui s’adonnait à être en ville, aux chœurs. Nous avons ajouté Rob Moose aux cordes et Cindy Cashdollar à la steel guitar. Je lui ai demandé de continuer de jouer à la fin, ce qu’elle a fait. J’étais assis dans la salle de contrôle, complètement abasourdi.»
Le vidéoclip qui accompagne la chanson a été réalisé par le cinéaste primé Kaveh Nabatian, un collaborateur de longue date. Le tournage a eu lieu à Montréal.
Enregistré à la fois chez Sunset Sound et au studio Dreamland de Woodstock, New York, Revelation est simultanément spirituel et terre-à-terre, des cieux au-dessus de nous aux océans à nos pieds. Les onze pièces de Revelation de Vollebekk marient des paroles tissant des récits à de nombreuses performances vocales enregistrées en une seule prise, des arrangements cinématographiques, de superbes sonorités, un usage très juste de l’espace, et des orchestrations somptueuses. Le processus d’écriture de Vollebekk sur Revelation a été inspiré par une exploration qui a débuté par le Yi Jing de Carl Jung et qui s’est poursuivie dans la science de l’alchimie et le mystère du divin. Le résultat final est à la fois organique, terrestre et céleste, intégrant des éléments naturels — l’eau, les constellations, la mortalité — à une méditation sur l’existence dans une réalité en constant changement, dominée par le doute et la recherche d’une force supérieure.
L’auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste canadien Leif Vollebekk annonce son tout nouvel album, Revelation, qui sera lancé le 27 septembre 2024, en plus de dévoiler le premier extrait «Moondog». Le nouvel album sera disponible en formats numérique, CD et vinyle. Il s’agit de sa troisième parution sur l’étiquette montréalaise.
Les onze pièces de Revelation de Vollebekk marient des paroles tissant des récits à de nombreuses performances vocales enregistrées en une seule prise, des arrangements cinématographiques, de superbes sonorités, un usage très juste de l’espace, et des orchestrations somptueuses. Le processus d’écriture de Vollebekk sur Revelation a été inspiré par une exploration qui a débuté par le Yi Jing de Carl Jung et qui s’est poursuivie dans la science de l’alchimie et le mystère du divin. Le résultat final est à la fois organique, terrestre et céleste, intégrant des éléments naturels — l’eau, les constellations, la mortalité — à une méditation sur l’existence dans une réalité en constant changement, dominée par le doute et la recherche d’une force supérieure.
«Moondog», le premier extrait, démontre la richesse de cette juxtaposition avec sa «méditation sur l’amour», les rencontres fortuites, la famille et la magie, en plus d’un clin d’œil à la «tessellation» (un motif de formes géométriques couvrant une surface). «Was that the wind howling through the trees/Or was that you/Calling to me?» Le vidéoclip qui accompagne la chanson a été réalisé par son collaborateur de longue date Kaveh Nabatian et a été tourné en Norvège.
«Durant le confinement occasionné par la pandémie, j’étais attiré vers des biographies et des livres à propos de la science. J’imagine que je cherchais quelque chose pour m’ancrer» confie Vollebekk. «Lorsque j’ai lu “Ma vie. Souvenirs, rêves et pensées” de Carl Jung, j’ai été frappé qu’il écrive aussi ouvertement qu’il avait des prémonitions dans ses rêves et par sa fascination pour l’alchimie. Lorsque j’ai lu à propos de la vie d’Isaac Newton, j’ai découvert cet homme de science qui pratiquait secrètement l’alchimie dans son propre laboratoire et qui était à l’affût de signes de l’apocalypse. Plus je lisais, plus je remarquais l’aspect surnaturel de tous ces grands scientifiques. Dmitri Mendeleïev affirme que sa découverte de l’agencement des éléments provient d’un rêve. Est-ce si différent de Paul McCartney qui a entendu “Yesterday” dans un rêve?»
Enregistré à la fois chez Sunset Sound et au studio Dreamland de Woodstock, New York, Revelation est simultanément spirituel et terre-à-terre, des cieux au-dessus de nous aux océans à nos pieds, témoignant de plus de deux ans d’isolement, de la création d’une famille en cours de route, en plus de la découverte de l’astronomie, de temps passé à s’occuper de son jardin, de la construction de meubles, de l’étude de l’alchimie et de l’anticipation de l’avenir à long terme. «C’était comme si j’avais pu prendre ma retraite pendant ma trentaine, alors que j’étais encore en mesure d’en profiter», confie Leif. L’album a été mixé par Tchad Blake (Tom Waits, Arctic Monkeys, Tracy Chapman), avec Greg Calbi au matriçage.
Artiste apprécié par ses pairs, qu’ils soient collègues ou admirateurs, Vollebekk — qui a réalisé l’album et qui y joue du piano, de la guitare, de la basse, de l’orgue B3, de l’harmonica, de l’accordéon et du synthétiseur Moog — a réuni un impressionnant groupe de collaborateurs pour l’épauler en studio, contribuant à la qualité musicale et à l’atmosphère des enregistrements. Ce groupe inclut le légendaire batteur Jim Keltner, la remarquable joueuse de steel guitar Cindy Cashdollar (Bob Dylan, Van Morrison et Rod Stewart), et le vénéré bassiste Shahzad Ismaily. Ses autres alliés sur Revelation incluent les artistes Angie McMahon et Anaïs Mitchell aux chœurs.
Leif Vollebekk lance un nouvel EP d’enregistrements en concert intitulé «New Waves», disponible dès maintenant sur toutes les plateformes d’écoute en continu. Le EP sera disponible en format vinyle dès le 22 avril 2022. En cette pandémie qui perdure, le EP de Leif est une ode resplendissante au sentiment unique créé par la musique sur scène, un amalgame d’émotions qui peut seulement être partagé avec un public.
«L’an dernier, j’ai eu la chance de revisiter ces chansons et j’ai réalisé qu’elles possédaient quelque chose que mes disques n’avaient pas», nous raconte Leif. «Elles vibraient avec l’énergie incommensurable des spectateurs. Peu importe s’ils écoutent la radio FM sur l’autoroute, s’ils regardent une diffusion du Late Late Show à CBS du confort de leur maison, ou s’ils sont debout devant moi au Troubadour à LA. Le public complète la musique. Ils l’influencent et la façonnent. Ils sont à l’autre extrémité de la fréquence et créent leurs propres nouvelles ondes. Cette symbiose est la chose dont je me suis ennuyé plus que tout au cours des deux dernières années. Et je la ressens sur cet album.»
Leif conclut : «Il faut se rappeler que, jusqu’à il y a cent ans, la musique en concert était la seule musique qui existait.»
En novembre 2021, Leif a partagé un premier extrait du EP, une version en concert de I’m Not Your Lover, enregistrée au Troubadour à Los Angeles en 2020. Le vidéoclip, réalisé par son proche collaborateur Kaveh Nabatian, capture une fois de plus l’essence de la musique de Leif et sa communion avec la nature. Leif Vollebekk sera en tournée à travers l’Amérique du Nord et l’Europe de la fin janvier jusqu’en mai 2022.
Au printemps 2021, Leif Vollebekk a été invité au Late Late Show with James Corden pour sa toute première performance dans le cadre d’un talk-show de fin de soirée aux États-Unis. L’animateur James Corden lui-même a invité Leif à son émission. La performance a été filmée par Andy Mann à Boulder, au Colorado, avec l’aide d’amis. Leif a interprété son plus récent extrait, Long Blue Light, qui a été lancé le 10 novembre 2020 et qui cumule plus de quinze millions d’écoutes en continu. Regardez la performance ICI.
Son plus récent album New Ways était une documentation sonore de tout ce que Leif ressentait : la tendresse et la violence, le sexe et la renaissance. «Tout ce que je ne dirais jamais à personne — je l’ai juste mis sur le disque», confie-t-il. L’album a été enregistré aux Capitol Studios de Los Angeles et au Studio Breakglass de Montréal, et on peut y entendre Olivier Fairfield (Timber Timbre) et Homer Steinweiss (The Dap-Kings, Amy Winehouse, Mark Ronson) à la batterie, ainsi que Angie McMahon aux chœurs. L’album a été mixé par Chris Allen à New York (Yoko Ono, Fleet Foxes, Sigur Rós, Margaret Glaspy) et le matriçage a été effectué par Greg Calbi chez Sterling Sound (David Byrne, The War On Drugs, Gregory Alan Isakov, Tame Impala, Father John Misty, Bob Dylan, Patrick Watson). L’album cumule à ce jour plus de trente-trois millions d’écoutes en continu. Il a reçu du soutien de Pitchfork, Uncut, NPR/World Cafe et The New York Times, et il s’est taillé une place sur la longue liste du Prix de musique Polaris 2020. Twin Solitude (2017), l’album qui a propulsé Leif à un niveau supérieur, s’est retrouvé sur la courte liste du Prix de musique Polaris en 2017, recevant une nomination pour un Prix JUNO et cumulant à ce jour cinquante-trois millions d’écoutes en continu. Le disque a été acclamé par les critiques d’Uncut, NPR Music, The Fader, The Sunday Times Culture, The Line of Best Fit, Paste, Brooklyn Vegan, WXPN, KCRW et Exclaim!, pour n’en nommer que quelques-uns.
Leif Vollebekk partage une version en concert de «I’m Not Your Lover», enregistrée au Troubadour à Los Angeles en 2020. «C’était la première fois que nous jouions la chanson sur scène, quelques mois avant le confinement. C’était un superbe concert à guichets fermés dans une de mes salles favorites», raconte Leif. «Quand j’ai entendu l’enregistrement pour la première fois, j’ai trouvé que ça sonnait encore mieux que sur le disque.» Le vidéoclip, réalisé par son proche collaborateur Kaveh Nabatian, capture une fois de plus l’essence de la musique de Leif et sa communion avec la nature. Leif Vollebekk sera en tournée à travers l’Amérique du Nord et l’Europe du début novembre jusqu’à mai 2022.
Nabatian, qui a réalisé plus de cinq vidéos pour l’artiste, à propos de sa collaboration avec Leif : «J’adore travailler avec Leif, car parfois on a la chance de tourner des vidéoclips comme celui-ci, simple et atmosphérique. Nous trouvons un paysage évoquant l’énergie de la chanson, nous nous y rendons avec une équipe réduite, quelques bonnes lentilles, puis nous improvisons. C’est très agréable, et magiquement, la performance, la lumière et la musique fusionnent en quelque chose de plus grand que la somme de ses parties.»
Le printemps dernier, Leif Vollebekk a été invité au Late Late Show with James Corden pour sa toute première performance dans le cadre d’un talk-show de fin de soirée aux États-Unis. Il a interprété son plus récent extrait, Long Blue Light, qui a été lancé le 10 novembre 2020 et qui cumule plus de quatorze millions d’écoutes en continu. L’animateur James Corden lui-même a invité Leif à son émission. La performance a été magnifiquement filmée par Andy Mann à Boulder, au Colorado, avec l’aide d’amis. Pour les fans de la série de Netflix «Feel Good» avec Mae Martin et Lisa Kudrow, ne ratez pas le premier épisode de la deuxième saison, lors duquel on peut entendre l’inimitable chanson «Transatlantic Flight» tirée de New Ways.
Son plus récent album New Ways était une documentation sonore de tout ce que Leif ressentait : la tendresse et la violence, le sexe et la renaissance. «Tout ce que je ne dirais jamais à personne — je l’ai juste mis sur le disque», confie-t-il. L’album a été enregistré aux Capitol Studios de Los Angeles et au Studio Breakglass de Montréal, et on peut y entendre Olivier Fairfield (Timber Timbre) et Homer Steinweiss (The Dap-Kings, Amy Winehouse, Mark Ronson) à la batterie, ainsi que Angie McMahon aux chœurs. L’album a été mixé par Chris Allen à New York (Yoko Ono, Fleet Foxes, Sigur Rós, Margaret Glaspy) et le matriçage a été effectué par Greg Calbi chez Sterling Sound (David Byrne, The War On Drugs, Gregory Alan Isakov, Tame Impala, Father John Misty, Bob Dylan, Patrick Watson). L’album cumule à ce jour plus de trente-trois millions d’écoutes en continu, il a reçu du soutien de Pitchfork, Uncut, NPR/World Cafe et The New York Times, et il s’est taillé une place sur la longue liste du Prix de musique Polaris 2020. Twin Solitude (2017), l’album qui a propulsé Leif à un niveau supérieur, s’est retrouvé sur la courte liste du Prix de musique Polaris en 2017, recevant une nomination pour un Prix JUNO et cumulant à ce jour cinquante-trois millions d’écoutes en continu. Le disque a été acclamé par les critiques d’Uncut, NPR Music, The Fader, The Sunday Times Culture, The Line of Best Fit, Paste, Brooklyn Vegan, WXPN, KCRW et Exclaim!, pour n’en nommer que quelques-uns.
Leif Vollebekk partage un nouveau vidéoclip réalisé par Tracy Maurice pour la chanson «Never Be Back», tirée de son plus récent album, New Ways, qui dépasse maintenant les vingt et un millions d'écoutes en continu à travers le monde. «Je crois que je n’aurais jamais écrit une telle chanson sans tous ces longs trajets en voiture passés à écouter Nebraska ou Ghost of Tom Joad», raconte Leif. «Vous savez, toutes ces chansons de Springsteen où on comprend que le personnage souffre et on ne pense pas qu’il va surmonter cette épreuve. Mais ensuite, il dit quelque chose d’étonnant. Ça nous prend au dépourvu et ça nous fait nous dire, eh bien, peut-être qu’il va s’en tirer. Il maintient toujours ce délicat équilibre.»
La réalisatrice Tracy Maurice partage son processus créatif avec nous : «Le vidéoclip de "Never Be Back" explore la nature fluctuante et éphémère de l’intimité en juxtaposant une performance avec des nébuleuses, des tourbillons cosmiques et des nuages à la dérive, créés en projetant du liquide sur du verre. Cette technique analogique reflète la beauté des moments inattendus qui peuvent survenir lorsqu’on se permet de lâcher prise.» Les prises de vue réelles du vidéoclip ont été tournées à l’emblématique Cinéma L’Amour sur le boulevard Saint-Laurent à Montréal.
Leif Vollebekk a dévoilé un tout nouveau vidéoclip réalisé par son proche collaborateur Kaveh Nabatian pour la chanson Into The Ether. Leif explique d’où sont venues les idées pour transposer visuellement cette chanson : Le groove de cette chanson m’est apparu alors que je nageais au YMCA. Alors j’ai demandé à Kaveh si l’action pourrait se dérouler entièrement dans une boîte de nuit sous-marine. Il m’a dit que c’était absolument possible. Mais il est devenu évident que la boîte de nuit n’était pas ce qui devait être submergé. Finalement, c’est seulement quelqu’un qui descend pour avoir de l’air.Kaveh Nabatian ajoute : Pour moi, c’est une chanson sur la confrontation des mensonges que nous racontons aux autres et à nous-même. Leif et moi avons eu l’idée de filmer ce moment dans la nuit où l’extérieur brillant que nous créons autour de nous-mêmes se brise… Ce sentiment de solitude est un peu comme flotter sous l’eau… en descendant lentement vers l’inconnu.
New Ways, le nouvel album de l’artiste montréalais Leif Vollebekk, est la suite très attendue de Twin Solitude, finaliste au Prix de musique Polaris en 2017. C’est un album qui existe entre le son du kick et du snare, dans cet instant chargé avant le contretemps. New Ways, c’est le son du désir dans son déploiement. Il y a deux ans, les choses changeaient si rapidement que l’auteur-compositeur avait peur d’en oublier des bouts. Je pense souvent à la ligne de Leonard Cohen, “I hope you’re keeping some kind of record” (J’espère que tu tiens une sorte de journal)», confie-t-il. Alors, c’est ce que j’ai fait, comme s’il était possible de composer la trame sonore de sa propre vie. Alors que Twin Solitude abordait l’autoréflexion, New Ways traite de l’engagement et du changement, du fait de toucher et d’être touché. C’est un disque physique, avec des grooves plus forts et plus serrés. Les paroles sont les plus crues que le musicien a composées jusqu’à maintenant. C’est un portrait de la beauté, du désir, de la nostalgie, du risque, du souvenir — sans un seul instant de regret.
Tout ce que je ne dirais jamais à personne, je l’ai mis sur le disque, explique Vollebekk — la tendresse et la violence, le sexe et la renaissance, Platon et Julie Delpy. Une histoire racontée en détail — le soleil à travers mes paupières, un panneau sur l’autoroute couverte de pluie. Il y a la chaleur de la nuit et la fraîcheur bleutée du matin, un soupçon de Prince et de Bill Withers, les limbes du vol transatlantique d’une personne aimée. J’ai fait le disque précédent pour moi, admet Vollebekk. Celui-ci est pour quelqu’un d’autre.
Leif dévoile également le premier extrait «Hot Tears», ainsi que le vidéoclip. «Hot Tears», nous explique-t-il, est une chanson qui a été écrite alors que mes sens étaient beaucoup plus aiguisés et que je voyais les couleurs autour de moi plus vivantes. Le ciel ressemblait souvent à celui que l’on retrouve dans le film “The Tree of Life” de Terrence Malick. C’est la dernière pièce que j’ai écrite pour l’album. Elle a été enregistrée en direct : les voix, la batterie et le piano. Je voulais qu’elle sonne le plus chaud et naturel possible, tout en forçant les paroles à se faire une place à travers elle. Le vidéo, magnifiquement réalisé par Kaveh Nabatian, ami et proche collaborateur du compositeur, était l’idée de Leif lui-même : pendant plusieurs mois, j’ai imaginé un vidéo avec une silhouette devant une abondante lumière dorée lorsque la note mineure sonne. Kaveh m’a présenté à Axelle Munezero : elle danse de la même façon que j’entends la musique. Il va sans dire que lorsque j’ai vu la chorégraphie d’Axelle pour la première fois, elle m’a jeté à terre.
New Ways a été enregistré au Studio Capitol à Los Angeles et au Studio Breakglass à Montréal. L’album présente Olivier Fairfield (Timber Timbre) et Homer Steinweiss (The Dap-Kings, Amy Winehouse, Mark Ronson) à la batterie, avec des voix additionnelles de Angie McMahon. Il a été mixé par Chris Allen à NYC (Yoko Ono, Fleet Foxes, Sigur Rós, Margaret Glaspy). Le matriçage a été effectué par Greg Calbi au Sterling Sound (David Byrne, The War On Drugs, Gregory Alan Isakov, Tame Impala, Father John Misty, Bob Dylan, Patrick Watson).
Leif Vollebekk a dévoilé le deuxième extrait de son prochain album, New Ways, ainsi que le vidéoclip pour «Transatlantic Flight». Transatlantic Flight prend son temps et vous enveloppe. L’inspiration de Leif vient de plusieurs univers — des refrains accrocheurs de Rihanna à l’atmosphère sombre de Leonard Cohen, en passant par la maîtrise visuelle de Richard Linklater (il y fait référence quelques fois dans le premier couplet de la chanson). La chanson progresse vers un sentiment euphorique, à travers un riche mur de sons et de cordes vibrantes, alors que Leif supplie : «so why don’t you come on over / start talking to me / one thing I can tell you / you look good when you’re tired / on a Transatlantic flight».
Leif, à propos de Transatlantic Flight :
J’ai travaillé un peu sur le disque à Marin County, et pendant que j’étais là, les falaises le long de l’océan surplombaient le plus bleu des bleus. C’est le même bleu — en fait, un bleu encore plus riche — que je vois quand j’écoute Transatlantic Flight. J’ai dit à Kaveh (le réalisateur du vidéoclip) que je voulais chanter la chanson là-bas et immortaliser le tout sur film.
Le vidéoclip est un long plan-séquence, à l’exception d’une coupe. Je l’ai exigé que j’ai toujours aimé comment, dans Before Sunrise de Richard Linklater, les plans sont si longs que tes yeux ont la chance d’errer et de remarquer des détails subtils. Le temps lui-même est un personnage dans ses films.
Pendant la dernière séquence, lorsque nous étions près de l’eau, j’ai ouvert mes yeux et j’ai soudainement vu une meute de chiens avec des colliers fluorescents, comme on en voit dans un « rave » ou un «dance party». C’est la chose la plus drôle que j’ai vue de ma vie — tous ces chiens avec des colliers fluorescents courant vers moi, avec cette mer épique comme toile de fond. Leur propriétaire les appelait pour qu’ils reviennent, mais ils se dirigeaient directement vers moi. J’ai tellement ri! Elle était si gentille, elle m’a crié : «Je suis désolée, j’espère qu’ils n’ont pas ruiné ton vidéoclip !» Nous avons tout gardé. — Leif Vollebekk
Leif Vollebekk a dévoilé le cinématographique nouveau vidéoclip pour «Blood Brother» — tourné dans la lumière matinale de Londres, du haut d’un autobus à deux étages. La chanson est tirée de son récemment lancé et acclamé album New Ways. Menotté à un siège dans un autobus londonien à deux étages vide, Vollebekk danse pour se libérer pour éventuellement transférer sa condition au seul autre passager de l’autobus.
« Il y avait une période il y a quelques mois où je n’écoutais rien d’autre que “Jailbreak” de Thin Lizzy. J’étais insatiable de ce rock’n’roll shuffle. Alors quand j’ai écrit cette ballade au piano, j’imagine que j’entendais ces polyrythmies par-dessus. Je l’ai jouée à Olivier [Fairfield, batteur] et c’est devenu autre chose complètement. Ce n’est plus une ballade du tout », raconte Leif. «À l’école secondaire, je crois que la première chanson que j’ai jouée avec un groupe était “Last Nite” des Strokes. C’était dans une cafétéria presque vide, à Ottawa. Mais c’était si libérateur. On n’oublie pas ce sentiment. Je pense que ça s’est faufilé dans cette chanson.»
Le réalisateur Joe Connor (Sam Smith, Coldplay, Kylie Minogue) précise le concept du vidéoclip : «Leif est un artiste dont la musique me fait rêver. Je voulais créer un vidéoclip qui retrouvait Leif au milieu d’une histoire — on ne sait pas d’où il arrive et où il s’en va, mais la beauté de ce vidéoclip est qu’on est devant un artiste, menotté et perdu dans une ville tôt le matin. Ce superbe vidéoclip présente Londres de la façon la plus spectaculaire et positionne Leif comme une voix douce à travers la ville qui défile.»
Leif Vollebekk a écrit sa chanson «Apalachee Plain» d’un seul jet, mais il lui a fallu travailler plusieurs versions différentes avant de trouver la bonne intensité — une étincelante chanson country en 6/8. Cette saisissante dernière chanson de l’album New Ways a désormais son propre vidéoclip. On peut y voir Leif, couvert de pluie, et un vaste paysage islandais en noir et blanc. «Apalachee Plain» a été enregistrée aux Capitol Studios de Hollywood. La chanson inclut des chœurs de l’auteure-compositrice-interprète australienne Angie McMahon et une guitare pedal steel jouée par la légendaire Cindy Cashdollar.
«Il y a quelques années, je conduisais à travers le désert et j’ai vu un mustang qui courait, seul le long de la route. Il avait l’air si libre. Et il semblait être conscient de tout. Cette image m’est revenue quand j’ai écrit cette chanson», raconte Leif.
«Je voulais créer un vidéoclip photographique pour cette pièce en utilisant un éventail de techniques mixtes, les paysages islandais, et des portraits photographiques. Mon but était de créer une atmosphère surnaturelle, avec Leif et sa voix au centre de cet univers visuel», explique le réalisateur du vidéoclip, Joe Connor.
Leif Vollebekk partage «Rest», deux nouvelles chansons disponibles via tous les services d’écoute en continu. En cette période de distanciation sociale, la vie nous force à prendre une pause de nos habitudes normales. Cela a encouragé certains d’entre nous, incluant Leif, à réfléchir davantage, à établir de nouvelles connexions, à se reposer plus. Cette parution reflète cette tranquille introspection.
Les deux nouvelles pièces représentent le début et la fin de son disque encensé par la critique Twin Solitude. «Intro» est une chanson inédite qui devait initialement être la première piste de cet album. La mélodie et les paroles, qui font écho à la chanson «Vancouver Time», sont venues à Leif alors qu’il était en décalage horaire, environ un mois avant d’écrire ce qui serait la pièce d’ouverture officielle. La deuxième chanson est une version acoustique de «Rest», la dernière piste de Twin Solitude. Cette version a été enregistrée de façon spontanée à Castlemaine, en Australie, avec l’ingénieur de son Jono Steer. Elle a été enregistrée exactement une semaine avant que le monde ferme ses frontières.
Plusieurs danseurs ont été inspirés par la musique de Leif et ont partagé des vidéos en ligne. C’est merveilleux de voir que la situation actuelle mène à une connexion à nos corps par l’entremise du mouvement.
Leif Vollebekk partage Long Blue Light, un EP de deux chansons disponibles sur tous les services d’écoute en continu. La pièce titre est une toute nouvelle chanson originale de Leif, alors que la seconde est une reprise de la chanson «29 #Stafford APTS» de Bon Iver. Leif explique : «Long Blue Light a été enregistrée durant les sessions de New Ways, par moi accompagné seulement d’un batteur, Homer Steinweiss. Je l’avais pratiquement abandonné, mais cette année, j’y suis constamment retourné. J’ai ajouté quelques “overdubs”, puis j’ai demandé à Cindy Cashdollar de compléter le tout en beauté avec un air de dobro. Il était supposé s’estomper doucement, mais je préférais la manière dont il s’effondrait à la fin.»
Les admirateurs endurcis de Leif Vollebekk sont familiarisés avec ses nombreuses performances de reprises en concert au fil des ans, et ils apprécieront certainement ce nouvel ajout à son répertoire de réinterprétations. Leif partage sa fascination pour l’album sur lequel se trouve la chanson : «Lorsque cet album de Bon Iver, 22, A Million, a été lancé, il m’a envoûté. Il a eu un effet sur moi similaire aux disques de ma jeunesse. Je pouvais déambuler dans cet album et y découvrir des choses. C’est toujours le cas. J’ai commencé à jouer avec cette chanson un soir de décembre, dans le nord, alors que la lumière du crépuscule durait des heures et des heures, tout devenant bleu. La neige, les visages, les maisons. Les deux chansons sont un peu entremêlées.»
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