Proposant un oasis de verdure inspirant et un espace culturel animé, le parc Claude-Henri-Grignon a été complètement réaménagé et inauguré officiellement en septembre 2013. Sa nouvelle vie lui permet de devenir à la fois un lieu de rassemblement et un espace naturel, culturel et social. Le nouveau projet, qui constitue dorénavant une véritable zone citoyenne au cœur du centre-ville de Sainte-Adèle, comporte le réaménagement du parc et la construction de la Place des citoyens.

C’est dans une volonté de doter la ville d’un lieu à vocation culturelle et sociale qu’a pris naissance le projet de la Place des citoyens. Parfaitement intégré à son environnement naturel, ce lieu représente un véritable bijou, autant par son concept que par ses fonctions. C’est à cet endroit que se tiennent les expositions d’artistes locaux et régionaux et une panoplie d’événements à caractère culturel, dans des salles qui se transforment selon les besoins. Des salles axées sur la pureté des lignes, la noblesse des matériaux et sur l’apport des éclairages, du foyer et d’une abondante fenestration. Un lieu privilégié pour plusieurs organismes et artistes qui contribuent à la qualité de vie et à la vitalité de Sainte-Adèle.

«Le geste photographique est aujourd’hui devenu un réflexe courant. Celui de capter notre passé en devenir pour le futur qui nous attend. C’est notre moyen, bien qu’illusoire, de préserver notre parcours de l’oubli et des méandres de la mémoire. Nous voulons créer et conserver des traces visuelles de nos sommets d’émotion, de lumière, de beauté, d’amour ou de bonheur afin qu’ils restent accessibles au regard et puissent continuer d’habiter le présent. Le rapport au temps teinte toute notre existence. Nous accumulons les souvenirs, qui s’entrecroisent, se chevauchent et se fondent les uns dans les autres ou restent parfois bien distincts, mais perdent leurs détails. C’est dans cet esprit que j’ai conçu et regroupé les œuvres de l’exposition Habiter le présent et mis en relation des fragments de conscience aux frontières parfois ténues et vaporeuses.» - Zakari Gilbert

Entrée libre.

Du 10 au 26 janvier.

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