EN FRANÇAIS! M. Pierre-Karl Péladeau a expliqué dans une entrevue, lundi, qu'il avait réclamé «une toune en français», après avoir réalisé que la chanteuse du groupe, venait d'enchaîner cinq titres en anglais, C’était francophone le soir du 29 janvier (2015), au Festival de musique émergente de Rouyn-Noranda. L'aspirant chef et député péquiste faisait alors une étape à Rouyn-Noranda dans sa tournée régionale.
L’ensemble des politiciens (PLQ, CAQ) qui se sont prononcés le désapprouvent.
(La Presse canadienne, publié le 10 février 2015)
GARDEZ-LE VOTRE ANGLAIS! Marc-Antoine Dequoy en avait long à dire après la victoire des Alouettes à la cent dixième Coupe Grey.
En entrevue avec le Réseau des sports, le Québécois s'est déchaîné contre la chaîne TSN, qui ne donnait pas cher de la peau des Alouettes en finale.
«Ils n'ont jamais cru en nous, jamais. Tu regardes partout et c'est écrit en anglais à TSN, ça disait Toronto contre Winnipeg. Mais savez-vous quoi? Gardez-le votre anglais! On va ramener la coupe à Montréal, on va la ramener au Québec, la ramener chez nous, parce qu'on est des f*cking champions!», a déclaré Dequoy, dans une entrevue légendaire.
Le Québécois faisait référence à l'affichage à Hamilton, uniquement en anglais, même si la formation montréalaise participait à l'événement. Il a aussi fait allusion au guide horaire de TSN, qui parlait d'une finale entre les Argonauts et les Blue Bombers. (TVA Sports, publié le 19 novembre 2023)
La très grande majorité des commentaires était favorable.
"On est francophones et il faut que ça paraisse. Oui, on accepte des commerces de partout, oui, on est ouverts à l’économie mondiale, mais à un moment donné, il faut s’afficher clairement et sans complexe. On est francophones et il faut que ça paraisse." […]Le ministre de la Langue française, Jean-François Roberge. (Henri Ouellette-Vézina, La Presse, 26 juin 2024)
Voilà pour la situation actuelle.
Paul Daoust, détenteur de deux doctorats, enseignant retraité, a consacré de nombreuses heures de recherche dans les documents et sur le terrain pour nous faire connaître un personnage du début du XXe siècle qui a consacré toutes ses énergies et tous ses efforts pour la promotion et l’égalité du français d’abord à Ottawa, ensuite à Québec. Armand Lavergne (1880-1935), comme avocat, mais surtout comme député, a livré une lutte acharnée pour ce qui a été la cause sacrée de toute sa carrière.
Paul Daoust nous le dépeint sans concession dans un essai biographique intitulé Armand Lavergne, Une fierté française ignorée aujourd’hui. Originaire d’Arthabaska (maintenant annexée à Victoriaville), il fut actif à Montmagny et dans les Bois-Francs. Sur la scène politique, après quatre tentatives (deux à Ottawa en 1907 et 1908 et deux à Québec en 1909 et 1910) ce n’est qu’en 1910 qu’il obligea le gouvernement de Lomer Gouin à promulguer ‘’La loi Lavergne’’ parce qu’appuyée par une pétition des Jeunes nationalistes signée par plus d’un demi-million de Québécois. .Cette loi obligeait, sous peine de sanctions, toutes les compagnies de transport et de communication à publier en français et en anglais tous leurs documents. Il s’associa à toutes les luttes des communautés francophones à travers le Canada (contre la Loi 17 en Ontario, pour la mémoire de Louis Riel, en Saskatchewan et en Alberta). Une foule de plusieurs milliers d’admirateurs assistèrent à ses funérailles et à sa mise en terre au cimetière d’Arthabaska. Depuis, presque aucun souvenir.
Paul Daoust a voulu lui rendre justice et nous le présenter comme un inspirateur des militants et des promoteurs de notre patrimoine culturel francophone toujours menacé.
Si vous êtes intéressés à mieux vous informer pour porter le flambeau, vous pouvez vous procurer ce volume, publié à compte d’auteur. Il est disponible au coût de vingt dollars (20$) auprès de Raymond Giroux, éditeur, 5, 125e avenue, Saint-Hippolyte, QC J8A 2H1, 450-563-9995, cloraygir@hotmail.com
Son livre est maintenant disponible à la librairie L'Arlequin de Saint-Sauveur-des-Monts, ainsi qu'à La librairie Sainte-Thérèse.
À l’occasion du quatre-vingt-dixième anniversaire du décès d’Armand Lavergne (1880-1935), je vous propose une conférence intitulée : Armand Lavergne – Une fierté française ignorée aujourd’hui.
Clientèles ciblées : bibliothèques, associations et groupes préoccupés par la situation du français et motivés pour la défense et la promotion du patrimoine culturel francophone du Québec.
Durée de soixante minutes ( exposé accompagné d’une projection, suivi d’une période de questions de quinze minutes). Exemplaires en vente au prix de vingt dollars (20$) du livre de Paul Daoust, Armand Lavergne - Une fierté française ignorée aujourd'hui, Raymond Giroux éditeur 3e trimestre 2024 | ISBN : 9782982271005, | Trois cent vingt pages
Résumé
Paul Daoust, détenteur de deux doctorats, enseignant retraité, a consacré de nombreuses heures de recherche dans les documents et sur le terrain pour nous faire connaître un personnage du début du XXe siècle qui a consacré toutes ses énergies et tous ses efforts pour la promotion et l’égalité du français d’abord à Ottawa, ensuite à Québec. Armand Lavergne (1880-1935), comme avocat, mais surtout comme député, a livré une lutte acharnée pour ce qui a été la cause sacrée de toute sa carrière. Paul Daoust nous le dépeint sans concession dans un essai biographique intitulé Armand Lavergne - Une fierté française ignorée aujourd’hui. Originaire d’Arthabaska (maintenant annexée à Victoriaville), il fut actif à Montmagny et dans les Bois-Francs. Sur la scène politique, après quatre tentatives (deux à Ottawa en 1907 et 1908 et deux à Québec en 1909 et 1910) ce n’est qu’en 1910 qu’il obligea le gouvernement de Lomer Gouin à promulguer ‘’La loi Lavergne’ parce qu’appuyée par une pétition des Jeunes nationalistes signée par plus d’un demi-million de Québécois. Cette loi obligeait, sous peine de sanctions, toutes les compagnies de transport et de communication à publier en français et en anglais tous leurs documents. Il s’associa à toutes les luttes des communautés francophones à travers le Canada (contre le Règlement 17 en Ontario, pour la mémoire de Louis Riel, en Saskatchewan et en Alberta). Une foule de plusieurs milliers d’admirateurs assistèrent à ses funérailles et à sa mise en terre au cimetière d’Arthabaska. Depuis, presque aucun souvenir.
Raymond Giroux, éditeur, finaliste au Prix Passion des Grands Prix 2024 de Culture Laurentides, reconnu et boursier du Mouvement national des Québécoises et Québécois des Laurentides.
Contacter Raymond Giroux, éditeur, 5, 125e avenue, Saint-Hippolyte, QC J8A 2H1,
450-563-9995raymondgirouxediteur@gmail.com
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